Maintenant, il semblerait que le psychiatre a d’autres fous à soigner. Nous avons l’habitude de ce type de leadership en Haïti où le peuple est systématiquement violenté, violé, pour lui imposer des politiques, des décisions qu’il ne comprend pas et qu’on ne souhaite pas qu’il comprenne. Nos dirigeants sont des cons. Les pires que je connais…. Et même en leur montrant des preuves de leurs méconnaissances des enjeux, ils refusent de voir les arguments contraires.
Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Jésus-Christ a dit : ils ont des yeux pour voir et ne voient pas, des oreilles pour entendre et n’entendent pas. Pourquoi ? Parce qu’ils ont été assourdis et aveuglés de peur qu’ils ne s’éveillent et soient sauvés, tellement ils sont maléfiques.
Il n’y a vraiment plus aucune limite. Tous ces prétendus «responsables» ne sont que des fous furieux. Jamais je n’aurais imaginé assister à un tel déluge de bêtises crasses, au soir de ma vie.
Ariel Henry est un bluffeur. Il est taquin !!! Ceux qui l’ont mis au pouvoir et l’y maintiennent sont : oligarques mafieux et corrupteurs, principalement s’appuyant sur un appareil d’État et des institutions corrompues jusqu’à la moelle, parlementaires, médias, fonctionnaires avides d’avancement, etc…
Ce type est une honte pour le pays, le pire premier ministre de facto, aucun charisme, jouisseur, mal fagoté, bref, aucune classe et en plus, comme tous les faibles, il est dangereux. Beaucoup de gens ont cru qu’il y avait un peu de raison chez les élites politiques haïtiennes. Je trouve ces personnes bien naïves. Il reste à savoir jusqu’où tout ça va aller.
Les leaders haïtiens agissent comme des guides qui se précipitent au sommet de la montagne et regardent le peuple souffrir, sous la pression d’une meute de chiens qui les empêcheraient de reculer ou de suivre, une autre voie que celle tracée par le chef.
Des fous furieux qui sentent que leur heure est bientôt arrivée à expiration, c’est pourquoi ils agissent ainsi, comme dans une folie suicidaire. Mais, en attendant, le mal les inspire et les conduit en enfer, en entraînant le peuple à leur suite. Mais il y aura un terme pour eux bien que tardif… mais décisif.
En effet, le vendredi 29 avril 2022, au Musée du Panthéon National Haïtien (MUPANAH), a eu lieu la cérémonie de lancement des activités et festivités du 1er mai, Fête de l’Agriculture et du Travail, en présence du Premier Ministre a. i., Ariel Henry et, entre autres, des Ministres Charlot Bredy (Agriculture), Odney Pierre Ricot (Affaires sociales), des membres du Haut état-major des Forces Armées d’Haïti, de la Police Nationale d’Haïti, des cadres de la fonction publique, des membres du corps diplomatique et consulaire, des représentants du secteur privé d’affaires, du secteur agricole et des travailleurs.
Dans son discours de circonstance, le Chef du Gouvernement a déclaré : «la date du 1er mai est empreinte d’un profond symbolisme et constitue un vivant repère, une source intarissable de solidarité et de fraternité pour tous les secteurs de la vie nationale. Je veux aussi honorer ces valeureux journaliers et ouvriers qui se défoncent et utilisent leur bras de travail pour renforcer la production industrielle. Dans le cadre de la journée du 1er mai, j’unis ma voix à celle des membres de mon gouvernement pour rendre un hommage solennel aux centaines de milliers de travailleurs de la terre qui alimentent des millions de familles haïtiennes.
Nous continuons à croire que l’agriculture représente l’un des principaux secteurs capables de libérer le potentiel de croissance économique de la nation, de réduire les disparités de revenus, les flux migratoires, de stabiliser la gourde et de réduire l’inflation.
Mon Gouvernement entend favoriser, dans ce contexte de crise planétaire, le développement d’une agriculture d’opportunité, reposant sur les capacités naturelles de nos écosystèmes à produire des aliments sains et nutritifs. Faisons de ces chocs qui déstabilisent notre économie, des opportunités pour renforcer notre agriculture et réduire notre dépendance vis-à-vis des marchés extérieurs.
Mon gouvernement réitère son engagement irréversible de travailler à faciliter l’accès à l’emploi durable et rentable, tout en faisant de la sécurité la principale stratégie.
Agissons ensemble pour soutenir l’agriculture et l’emploi pour plus de sécurité.»
Dans ses propos, le Ministre Charlot Bredy, s’est dit convaincu que le secteur agricole joue un rôle important dans l’économie et le développement global du pays. Il en a aussi profité pour saluer l’effort des agriculteurs qui participent dans l’amélioration de la condition alimentaire et nutritionnelle de la population.
Pour sa part, le Ministre Odney Pierre Ricot a considéré cette journée comme un moment de réconciliation, réitérant l’engagement du Gouvernement à améliorer les conditions de travail des ouvriers et ouvrières et de veiller aux droits des travailleurs.
Soulignons que le Ballet folklorique du Théâtre National d’Haïti a eu le privilège d’exécuter deux spectacles de danse pour le plaisir du public, à l’occasion de ce lancement du 1er mai, mais aussi pour célébrer la Journée Internationale de la Danse (29 avril).
En plus, dans une note, le Ministère de la Communication rappelle que «le 1er mai trouve son origine dans la lutte de milliers de travailleurs qui ont sacrifié leur vie pour obtenir des droits. C’est un jour de commémoration à l’égard de ces valeureux qui ont versé leur sang pour la dignité du travail. Cette journée rend hommage aux travailleurs pour leur rôle dans la vie socio-économique du monde.
Le 1er mai est une journée de réflexions autour des revendications pour travailler en sécurité, augmenter la production, tout en renforçant la qualité et bénéficier des avantages sociaux. Cette journée fait appel à un esprit de solidarité entre employeurs et employés pour le bien-être de la société.
En Haïti, le 1er mai (Fête nationale) dédiée à la masse des travailleurs, est également consacrée à l’agriculture. La fête de l’Agriculture a été retenue par la Constitution de 1816, dans son Article 34. Il est une tradition de célébrer la fête du Travail et de l’Agriculture en Haïti, par des foires de gastronomie et de production où des organisations sociales du secteur agricole et artisan présentent leurs œuvres. Le mouvement syndical relance également, durant cette période, les problèmes rencontrés, à travers des conférences-débat ou des activités de sensibilisation et de mobilisation. Certains établissements scolaires organisent des campagnes de reboisement. Plusieurs activités empreintes de civisme sont organisées, en dépit de certaines difficultés».
Emmanuel Saintus