Les noms des bêtes et des faunes sont connus, dixit le Mouvement Point Final.
Il est décevant de voir des partis politiques et des institutions de la société civile haïtienne se lancer dans la démarche de la communauté internationale, à travers la CARICOM, et mettre en place un Conseil Présidentiel de 7 membres pour diriger le pays après la démission du PM Ariel Henry bloqué à l’étranger.
C’est une génération de politiciens sans scrupules, sans vergogne, sans dignité, sans respect pour la patrie haïtienne. Ils admettent tout pour arriver au pouvoir. Ils traduisent bien le concept de prostitués politiques.
Si les conseillers présidentiels peuvent être considérés comme des bêtes ou comme des sauvages politiques, comme des vautours, ensemble ils constituent une bête à 7 têtes pour détruire le peuple haïtien.
Les partis politiques, les accords politiques et les institutions de la société civile haïtienne qui acceptent de déléguer des représentants au conseil présidentiel de la CARICOM ne sont autres que des faunes d’une jungle qui abritent des animaux sauvages. Le peuple haïtien doit prendre note de l’ensemble de ces institutions qui participent à la formation du conseil présidentiel de la CARICOM et les considérer comme des institutions vénimeuses qui ne doivent jamais participer dans la gestion des affaires de l’État d’Haïti. Et, les gens qui acceptent d’y participer ne sont que des bêtes, des traîtres à la patrie, des Conzé et doivent être expulsés à tout prix de la vie politique, sociale, économique et culturelle du pays.
Pour l’histoire et la postérité, nous publions la liste connue, jusqu’aux dernières nouvelles, des 7 bêtes de l’histoire contemporaine d’Haïti :
1) Pierre Jean Raymond André : Diaspora.
2) Marie Ghislaine Mompremier : EDE/ RED
3) Laurent Saint-Cyr : HCT/ Secteur privé des affaires.
4) Edgard Leblanc Fils : Collectif 30 janvier et OPL
5) Fritz Alphonse Jean : Accord Montana.
6) Leslie Voltaire : Fanmi Lavalas
7) Vickerson Garnier : Accord 21 décembre.
Emmanuel Saintus