Le Mouvement Point Final traite de ” mannigèt” ( magouille), la Rencontre de la CARICOM, du lundi 11 mars 2024.
La CARICOM appelle aux principaux acteurs internationaux, la France, le Canada, les États-Unis et les Nations Unies à agir vite sur le dossier d’Haïti. Il y a péril en la demeure. L’urgence est de taille en Haïti.
Le Mouvement Point Final traite cette énième rencontre de ce lundi 11 mars 2024 de la CARICOM, qui se tiendra à la Jamaïque, de ” mannigèt“.
Selon le Mouvement Point Final, les Nations Unies et les pays occidentaux visent l’avilissement du pays, dans leur traitement du dossier d’Haïti. Ils n’ont aucune moralité à parler de la résolution durable de la crise haïtienne. Ils sont des acteurs-clés de la crise haïtienne, ils ne peuvent pas en être la solution. C’est un non sens.
La résolution de la crise haïtienne doit être haïtienne avec les Haïtiens et pour les Haïtiens.
Ainsi, le Mouvement Point Final invite tous les acteurs potentiels de la classe politique haïtienne à s’unir autour de la Résolution finale du Congrès National de Ouanaminthe pour libérer Haïti du joug d’Ariel Henry et de la Communauté internationale.
C’est le moment ou jamais de recouvrir la souveraineté d’Haïti, parce que la crise haïtienne, à 80%, est diplomatique, et à 20%, politique.
La crise haïtienne est un construit de la communauté internationale, spécialement du Core Group qui, depuis sa création en 2003, met en place une politique de déstabilisation de la vie sociale, économique et politique d’Haïti et un plan de destruction de la souveraineté d’Haïti comme la Première République nègre indépendante du monde.
Donc, le Mouvement Point Final croit que la rencontre du lundi 11 mars 2024 de la CARICOM est une mannigèt pour faire passer le temps et mener une politique d’usure dans la crise haïtienne, en vue d’arriver à une explosion sociale ou à un génocide dans le pays, au même titre que le cas du Rwanda en 1994.
Sur ce, le Mouvement Point Final invite tous les acteurs politiques d’Haïti à se ressaisir et à donner la priorité aux intérêts du peuple haïtien pour résoudre la crise haïtienne à travers l’application de la Résolution finale du Congrès National de Ouanaminthe pour la Nouvelle Haïti qui prône un gouvernement bicéphale avec un président issu de la Cour de Cassation et un premier ministre de consensus national, pour remplacer Ariel Henry au pouvoir.
Ulysse Jean Chenet